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vendredi 18 février 2011

MBA OBAME DIS NOUS LA VERITE SUR L'AFFAIRE MBANIE, TON SILENCE DERANGE LE PEUPLE GABONAIS!

L’imposteur squatteur du PNUD est d’un silence assourdissant au moment où la question de l’Ile Mbanié revient à la une de l’actualité, et qu'une concertation nationale sous l'impulsion du Président de la République, Chef de l'Etat ALI BONGO ONDIMBA, s'est ouverte à Libreville.






Toutes les forces vives de la Nations se sont succédées au Palais de la Présidence de la République, en partant des Institutions Constitutionnelles, des Partis Politiques aussi bien de la majorité que de l'opposition, des Organisations Non Gouvernementales, des Forces de Défenses et de Sécurité, aux simples citoyen gabonais.

Fait particulièrement intriguant, Casimir Oyé Mba pourtant ancien Premier Ministre sous le Magistère duquel (soulignons le au passage), Mba Obame André avait manigancé et conduit aux fameux Accords de Paris (il faut dire qu'à l'époque, les deux hommes se détestaient ouvertement), lui dont on aurait pu penser qu'à la lumière de ses récentes sorties médiatiques semblait s'affranchir de la vassalité dans laquelle MBA LE BOA les tient au siège du PNUD, lui "Cam la Class" (la grosse blague),qui tentait de retrouver le bon sens en sollicitant la clairvoyance du Chef de l'Etat ALI BONGO ONDIMBA quant à l'ouverture d'un dialogue entre les acteurs politiques, s'est soudainement et à la surprise générale, rétracté en déclinant l'invitation officielle du Chef de l'Etat à se joindre aux discussions pourtant liées au très sensible litige d'intérêt national sur l'ile Mbanié.


Ce silence de Casimir Oyé Mba n'est sans doute pas anodin, car on se souviendra que le jour du scrutin présidentiel du 30 Aout 2009, notre CAM national s'était également rétracté au grand dame de ses électeurs et ce, sans donner de raisons valables. Mais en réalité et d'après nos informations, c'est sous la pression d' un Chef d'Etat d'Afrique Centrale limitrophe au Gabon, en particulier de la province du Woleu-Ntem qui lui aurait promis (il parait) environ 2.8 milliards de nos francs d'argent de poche si il acceptait de se retirer pour reporter ses voix sur qui vous savez... (suivez notre regard). Aussi, l'absence de commentaires de la part de notre ancien Premier Ministre nous ramène à la question de savoir dans quel camp se trouve-t-il? Celui de l'intérêt de la Nation ou de ses propres intérêts?
Quoiqu'il en soit, tout porte à croire que le hors-la loi de Medouneu doit avoir une terrible épreuve de conscience, puisque ballotté entre son rêve de présider le Gabon et son penchant pour sa patrie du cœur, toute voisine. (Suivez notre regard une fois de plus...) Nous ne pouvons pas croire qu’inspirée par une certaine fée du logis, le champion du ridicule soit plongé dans la lecture d’Arlequin ou en admiration des séances de manucure, pédicure ou autres de sa compagne d’exil volontaire sur le territoire qu’il clame présider.

Les deux ont en commun le retour au royaume d’enfance mais tel n’est pas l’essentiel de notre propos. Les Gabonais veulent savoir que pense le président du ridicule du différend de l’Ile Mbanié ?

Quel rôle a-t-il joué ou pas dans cette affaire? Est-il prêt à sortir de son trou et à affronter un jury d'honneur ou un jury populaire pour expliquer son implication dans cette affaire sordide?

Que pense le député de Medouneu refugié-squatteur devant l’éternel du formidable élan national de concertation et d’unité autour du Chef de l’Etat ?

André langue de Mboa(chien en langue omiènè) aurait-il perdu l’usage de la parole pour nous édifier sur l’appartenance de Mbanié au Gabon ? Est-il prêt à prendre position publiquement, lui le bavard des grilles du PNUD ?

Est-il pour le respect et l’application des textes internationaux, notamment de la Convention de Vienne sur le droit des Traités de 1969?

Le silence d'AMO alias MOA sur ce litige de Mbanié devient assurdissant... Au fait il nous revient que l’un de ses noms de baptême de campagne était André Mba Nié. Un nom prédestiné surtout quand on est loin d’être clean et qu’on a choisi d’être le secrétaire exécutif de la tortuosité….

Nous reviendrons plus en détail sur cette question avec plus de détails que beaucoup parmi nous semblent ignorer...

MBA OBAME doit s'expliquer sur le contrat de cession qu'il voulu faire signer au défunt Président de la République OMAR BONGO ONDIMBA, lequel renvoya notre vénal Ministre de l'Intérieur de l'époque, chez la Présidente de la Cour Constitutionnelle. Le refus catégorique de Marie Madeleine Mborantsouo de parapher ce document ubuesque et dangereux avait permis à notre pays de préserver son intégrité territoriale et de nous éviter une honte nationale.



Il convient par ailleurs de souligner que le Secrétaire Général des Nations Unies vient de donner une réponse définitive à l'usurpateur de pouvoir André Mba Obame qui demandait la reconnaissance de sa dérive par l'ONU. En effet, Monsieur BAN KI MOON a tout simplement inviter le Président reconnu par la Communauté Internationale, SE ALI BONGO ONDIMBA, pour une rencontre tripartite avec son homologue équato guinéen Obiang Nguéma à New York les 24 et 25 Février prochain.

Un tel désaveu devrait servir de leçon à Monsieur Mba Obame afin qu'il comprenne définitivement qu'en dehors d'avoir été ridicule et couvert notre pays de honte, son acte n'a eu d'impact que sur sa propre personnalité et celle de ses nouveaux vassaux! Le Vrai Président de la République est ALI BONGO ONDIMBA et lui Mba Obame, un futur ex député qui sera jugé par les tribunaux compétents pour crime de Haute Trahison!

La suite de cette affaire, pour bientôt...

Auteur: UJPDG-FRANCE


Sources: Un partisan de l’intégrité territoriale.

jeudi 13 janvier 2011

Le Journal"Libération"veut cacher la Vérité à ses lecteurs et aux Gabonais

Après avoir semé le vent en révélant contre le Gabon et certains dirigeants français, les « ragots » de WIKILEAKS, l’incorrigible journal « Libération », semble désormais envouté par la peur de récolter sa propre « tempête ». Au lendemain de sa publication du 31 Décembre 2010 intitulé « Des chèques africains sous le parquet parisien », le quotidien français pourtant grand donneur de leçon en matière de démocratie, tarde jusqu’alors à publier la lettre qui lui a été adressée via ses dirigeants, par les avocats de la République Gabonaise, Maitres Georges ARAMA et Patrick MAISONNEUVE (officiant barreau de Paris), en date du 7 Janvier 2011 en réponse aux incartades incontrôlées (permettez ce pléonasme « utile ») dudit organe de presse écrite français.

En effet, « Libé » comme on le surnomme affectueusement dans "les cafés du commerce parisiens", avait dans un de ses articles du 31 Décembre dernier, livré sur la « place publique », des informations développées par l’hebdomadaire Jeune Afrique et reprises depuis par Wiki-congossa, oops(!!!) Wikileaks, concernant le dossier dit « BEAC ».

De telles révélations n’ont guère manqué de susciter étonnement et stupéfaction du côté gabonais. C’est à la suite de ces dérapages, fortement critiqués tant par les autorités françaises que gabonaises, et fort des éléments de preuves en leur possession, que par leur courrier du 7 Janvier 2011, Maitres Georges ARAMA et Patrick MAISONNEUVE, commis par le Gabon à cet effet, ont bien voulu attirer l’attention du comité directeur du « satirique », mais surtout celle de ses lecteurs auxquels "l'infidélité de l'information" à été commise , sur quelques points importants qui tendent à démontrer que ni Libération ni Jeune Afrique et encore moins WikiLeaks ne disposent d’informations pertinentes et vérifiées.


Les deux ténors du barreau parisien ont notamment rappelé à nos amis « chiens de garde » de la « médiacratie française », que dans cette affaire dite de la « BEAC », le Président de la République Gabonaise, Ali BONGO ONDIMBA, d'ores et déjà animé par la ferme volonté d'imposer la Bonne Gouvernance dans la gestion de la chose publique au Gabon, avait dès sa prise de fonction à la fin du mois d’octobre 2009, enjoint à son Premier Ministre Paul BIYOGHE MBA de déposer une plainte contre X du fait des malversations commises par plusieurs responsables de la BEAC(Banque des Etats de l’Afrique Centrale) à Paris.

D’après les éléments que nous détenons, cette plainte a été enregistrée au Parquet de Paris depuis le 19 novembre 2009, sous le numéro 09.323.930.14. Malheureusement, ladite déposition est jusqu’à ce jour restée sans réponse. Curieux non?


Que disait la plainte ?
Dans sa plainte contre X, la République Gabonaise demandait notamment que la lumière soit faite sur les détournements mis à jour par l’enquête interne de la BEAC dont il est fait état dans un rapport publié, le 24 octobre 2009, ainsi que sur l’emploi abusif et le placement de fonds (de la BEAC) dans des proportions anormales, illicites et exorbitantes, auprès de plusieurs établissements bancaires en France.

En effet, et pour l’information de tous, le Gabon en sa qualité de membre de la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale), contribue au fond de réserve de la BEAC constitué par des apports effectués via les différentes banques centrales nationales, dont la sienne. C’est dire alors que les détournements susvisés n’ont pas épargné le Gabon, ils lui ont bien au contraire, également porté préjudice.

C’est d’ailleurs une des principales raisons pour lesquelles la plainte déposée par les autorités gabonaises auprès du parquet de Paris visait des faits de vol, d’escroquerie, de faux et usages de faux commis par plusieurs responsables de la BEAC sans distinction de nationalité ou d’appartenance.

Cependant à ce jour, la déposition est restée « lettre morte », ce qui d’ailleurs laisse sur leur fin, les avocats du Gabon face à une telle « bizarrerie ».

Que reproche-t-on au juste à la presse française et particulièrement le journal « Libération » ?
 D’abord son « amateurisme » (expression d’ailleurs récemment découverte par une certaine opposition gabonaise… Suivez notre regard) au regard du traitement inapproprié, voire condescendant des informations diffusées, particulièrement sur le Gabon. Ensuite mais surtout, c’est la stigmatisation de manière systématique du Gabon et ses responsables politiques, qui a conduit légitimement Georges ARAMA et Patrick MAISONNEUVE de porter à l’attention du comité directeur du journal « Libération », ces faits précis.

Les deux avocats ont d’ailleurs rappelé au Directeur de « Libération » ce qui suit : « La République Gabonaise aurait apprécié, comme vous le dites, qu’une « belle et bonne enquête judiciaire » soit ouverte « pour se faire une religion sur le BEACgate ».
 Aussi, ces propos que l’ont qualifierait de déformés et s’apparentant à des commérages de personnes vraisemblablement non compétentes tenus par des « diplomates », rapportés tant par Jeune Afrique que par WikiLeaks, ne correspondent pas en définitive, à la réalité du dossier, en tout cas, pas celle contenue dans les rapports de la BEAC pourtant accessibles à tous sur internet !!

«La lecture et l’analyse préalable de ces rapports, vous aurait certainement permis de pouvoir donner une information fiable, en tout cas moins orientée, à vos lecteurs de même que la connaissance des démarches accomplies par la République Gabonaise aurait pu vous permettre d’apprécier, les démarches initiées par la République Gabonaise», ont conclu les deux avocats.

Au moins, les choses ont le mérite d’être claires, même si nous attendons toujours avec grande impatience qu’en dehors de nous, le journal « Libération », grand artisan de la « démocratie médiatique », instruise ses lecteurs et nous, sur ces vérités qu’il semble leur cacher délibérément pour ne pas dire intentionnellement.

On aurait aimé revoir l'anthousiasme qui les avait animé lors de leur publication du 19 Octobre 2009 au sujet des mesures prises par ALI BONGO ONDIMBA lors du premier conseil des Ministres de son Magistère, en tête desquels la vaste croisade de lutte contre la male gouvernance et contre la corruption dans nos administrations. Depuis lors, nos amis de "Libé" semblent avoir définitivement perdu la raison... Mais à quel prix? That's the question!

mardi 4 janvier 2011

André Mba Obame: LE CLOWN DE LA RUE PUBLIQUE EST DE RETOUR

La neige, et le froid de Neuilly aidant, Caïn (suivez mon regard) a atterri à Libreville.

Le verglas persistant l'y a suivi pour une des ses glissades habituelles depuis son KO des élections présidentielles de 2009.

Le rat de certaines rédactions parisiennes et fantôme des couloirs intrigants de la Françafrique a voulu créer l'événement. Il aura réussi son numéro de pitrerie au grand bonheur des enfants, qui après le Père Noël, ont eu droit au cirque ou one man show burlesque de Caïn l'halluciné et bradeur de Banié pour la Saint Sylvestre.



Ce bonhomme qui croit que les Gabonais sont amnésiques prend des vessies pour des lanternes. Le ministre le plus impopulaire et vomi de la République, habitué aux sales besognes, machinations, intrigues et trahisons, à l'égo surdimensionné, pense, comme Merlin l'enchanteur avoir plus d'un tour dans son sac et réussir la prouesse de se forger virginité, charisme et adulation.

Non Mr le Député, revenez sur terre !

Mais où était Caïn de Medonneu tous ces mois?

Un Président élu peut-il préférer les allées et hôtels particuliers de Neuilly et les fréquentations et tractations antinationales à sa présence parmi ses compatriotes ?

Mais où était donc Caïn de Banié, l'apprenti déstabilisateur pendant tous ces mois?

Quid de ces rencontres dont nous savons un bon bout, en vue de déstabiliser le Président légal et légitime du Gabon, Ali Bongo Ondimba ?

Après le pétard mouillé du documentaire de Patrick Benquet et de l'ami intime de Caïn, Antoine Glaser, notre farfelu et fanfaron tropical envisage un scénario de guerre civile dans le pays, soutenu par des capitaux étrangers. Le gus est prêt à tout, avec ses acolytes, à qui il a promis monts et merveilles, pour quitter Neuilly et prendre ses quartiers au Palais du bord de mer à Libreville.

Rien ne le sauvera des eaux et du déluge des législatives et adieu rêves, ambitions et la terre promise de Premier Ministre et futur Président…sauf du souterrain du ridicule…qui risque de le tuer.

L'une des seules hypothèses non promise et la plus probable pour un proche avenir c'est qu'il se retrouve pour un long bail dans une des cellules de moins sept étoiles qu'il gérait jadis et où il se faisait un malin plaisir d'envoyer Marc Ona et Grégory Ngwa Mintsa . Tiens ….Tiens…..Très intéressant !

Alors ressaisissez-vous pendant qu'il est temps car force reste et restera à la loi.
L'autre hypothèse est son internat dans quelque hospice psychiatrique pour un traitement urgent et adéquat d'un cas vraiment pathologique.

A bon entendeur…….Caïn l'imposteur et tortionnaire de métier !

dimanche 12 décembre 2010

MYE’A la langue de MBOA (Mba Obame André)

Une excitée de quartier, auto-érigée et proclamée Présidente du conseil exécutif,d’un confidentiel Mouvement Civique du Gabon qui pourrait tenir son AG dans la cabine d’un pick-up nous tympanise sous l’instigation de ses commanditaires, les perdants des élections, toujours non encore remis de leur KO.


Madame la cheftaine du mouvement lilliputien, expliquez-nous comment le politicien le plus vomis par les Gabonais, qui a joui dans tous les sens du terme des délices d’une sinécure ministérielle jusqu’à la veille de la désignation du candidat du PDG, a pu en quelques petites semaines, inverser la tendance et se faire aduler ?

A moins de prendre nos compatriotes pour des tarés ou de vouloir insulter l’histoire universelle où nul ministre d’un gouvernement n’a pu en moins de 2 mois de sa défénestration gagner des élections présidentielles, votre thèse onirique est irréaliste. Réveillez-vous pendant qu’il est temps !

Vous voulez prétendre que votre champion de la roublardise et de l’ingratitude doit entrer dans le record Guinness ? Peut-être mais celui des clowns et charlatans.

Puisque vous adorez les parallèles, méditez ce qui suit

• Mba Obame, le Gbagbo du Gabon ; pas beau le mec à langue de MBOA (tiens tiens ce sont ses initiales)

• Machiavélique : Ne croît en rien ! sa parole n’a aucune valeur. C’est cadeau et ça gâter pas

• Passe son temps à chercher à manipuler sans foi ni loi

• Invente des résultats de toutes pièces et n’a aucun scrupule à les diffuser partout, contre toute légalité mais sans incidence aucune sur la marche du Gabon Emergent : ça compte pour du beurre et ça fond sous le soleil de la vérité et du progrès

• Sait qu’il ne peut gagner d’élections légales, donc s’appuie sur la fourberie et la manipulation.

• Organise une subversion permanente car ne supporte pas que la marche de la République se fasse sans lui. Il rêve de gagner les législatives et de retrouver, pense-t-il les lambris et dorures d’antan. Peine perdue.

• S’il devait arriver au pouvoir, il tordrait le cou à tous les principes et à la démocratie pour ne jamais partir hein Monsieur le patron de TV+ (financé comment au fait depuis l’origine ?)

M'Eya des coups de pied qui se perdent ! Sachez les donner là où il faut et VLAN !

jeudi 25 novembre 2010

France-Afrique : vous avez dit biens mal acquis et spoliation ?

Les médias et journaux français des 10 et 11 novembre ont fait leur chou gras de la décision de la Cour de cassation de permettre à un juge d'instruction dit indépendant de pouvoir enquêter sur le patrimoine en France de trois présidents africains, dont l’un est le nôtre défunt et de leurs proches.

Si cette décision ouvre la voie aux plaintes des associations anti-corruption, jusque-là irrecevables, elle ouvre une vraie Boîte de Pandore et ce sera de toute beauté.

Pour le fils du continent que je suis cette décision est une nouvelle insulte aux Africains, plus précisément à l’Afrique Noire.

Pour le citoyen gabonais non affilié à quelque parti que ce soit,  au-delà de toute émotion, il faut en avoir plusieurs lectures.

Cette décision au-delà de ses relents de nostalgie coloniale est caractéristique de la mentalité d’esclavage de ceux qui se prennent pour les maîtres du continent, des années après la traite, l’époque coloniale et néocoloniale. Le Parti Démocratique Gabonais, cette fois, a dit et bien dit ce qu’il fallait à ce propos.

Quelle belle occasion pour la meute médiatique hexagonale (excusez de l’emprunt à Mitterrand) que cette décision qui lui permet de se ruer vers le Président Gabonais Ali Bongo Ondimba, qui n’a jamais été cité, à ce jour, personnellement dans cette affaire.

Arrivé à la tête du pouvoir qu’il exerce depuis un an donc bien après le début de la procédure, aucun acte ni preuve ne peuvent être apportés et mis à charge contre lui.

Fort curieusement ces attaques politiques en règle sous vernis juridique interviennent au moment où, prenant la France au mot, il diversifie les partenariats du Gabon afin de réaliser les plans de sa stratégie d’émergence pour le plus grand bien de tous les Gabonais.

Elles interviennent à un moment où la France de l’immigration choisie perd du terrain, chaque jour davantage partout en Afrique, au profit de pays ayant une conception et une pratique plus équitables, plus moderne et généreuse des relations bilatérales.

Au moment où de nombreux titres, articles et sites africains font état de nouveaux succès diplomatiques de notre pays en Asie avec des investissements records de nouveaux partenaires de pays émergents, au moment où Ali Bongo Ondimba, mène courageusement sa croisade contre la mal gouvernance, la corruption, les détournements au vu et au su de l’écrasante majorité de nos compatriotes et des filles et fils du continent, qui lui vouent admiration, la presse française se déchaîne à nouveau au point d’être suspecte.

La décision du Gabon d’arrêter l’exportation des grumes de bois, suivie de la décision de mise en compétition pour l’octroi de 42 plateformes pétrolières, par la procédure qui lui paraîtra idoine, cassant de fait le monopole de certains auraient-elles effarouché d’aucuns au point d’en faire un « casus belli » ?

Le niveau surprenant d’engagements et d’investissements en cours  de pays émergents au Gabon aurait-elle réveillé une certaine frilosité ?

Cette campagne est détestable et inacceptable car émanant d’adeptes de la démocratie variable et de faciès.

Et c’est là le débat de fond : une légèreté grave nourrie par le racisme.

Mesdames, Messieurs de la presse française : si vos motivations se fondent sur des principes, qu’attendez-vous pour attaquer de connivence avec vos ONG adulées tous les Chefs d’Etat du monde ? Pourquoi seulement trois ? Pourquoi seulement des Africains au teint basané ?

Qu’attendez-vous pour suggérer des enquêtes sur le patrimoine des dirigeants de votre propre pays ?

Quid des Princes arabes du Golfe qui vous ont dépossédé de vos plus beaux hôtels particuliers ou autres yachts ?

Seraient-ils des rois et roitelets trop puissants ou argentés contrairement à ces nègres d’Afrique ?

Cela a un nom : des attaques ciblées et en règle dès lors que les nouveaux « Oncle Tom » du genre Gregory Ngbwa Mintsa, le singleton black repéré et retrouvé à la torche indigène, sont instrumentalisés pour porter plainte.

Seriez-vous d’avis que l’Africain n’a encore droit qu’à vivre sur les arbres à côté des singes ?

Biens mal acquis avez-vous dit ?

Le scénario est mal écrit et piteusement interprété.

Puisque la brèche juridique est ouverte, nous autres jeunes africains et gabonais, patriotes incorruptibles, allons déposer massivement et inlassablement des plaintes contre toutes ces sociétés qui depuis des années pillent et spolient notre continent, nos richesses nationales et celles des générations futures. Aucun de ces Messieurs de la Françafrique ne sera épargné.

Nous décidons de réactiver tous les dossiers. Les diamants brilleront de nouveau.

Nous convoquerons Me Bourdon, avocat de Kadhafi car nous sommes d’accord avec lui quand il clame que la brèche permet «d’envisager le procès de ceux qui s'enrichissent au détriment de leur population depuis des décennies et qui permettra un jour la restitution de ces avoirs illégalement acquis ».

Oui Maître mais comme un principe général applicable à tous, y compris à votre ami et opposant  loser et aigri qui parcourt les rédactions, cours maraboutiques et allées et couloirs  de son appartement de Neuilly pour justifier de ses biens, puisqu’il s’est lui-même autoproclamé héritier d’Omar Bongo Ondimba sans lequel il n’aurait pas eu de compte bancaire de sa vie.

Nous convoquons à la barre la France mal acquise et la presse complice et receleuse.

Nous convoquerons toutes ces sociétés françaises qui se sont enrichies honteusement sur le dos et la sueur des gabonais et des africains, investi et constitué des patrimoines en France, en Europe et dans le monde.

Nous reprendrons à notre compte le dossier de l’uranium français au Gabon et au Niger.

Nous nous intéresserons à VEOLIA, à ses filiales qui assoiffent  nos populations, délestent nos écoles et hôpitaux et assombrissent nos villes, villages et maisons.

Nous convoquerons les activistes, intrigants et manipulateurs tapis dans quelques organisations et revêtus du manteau de prétendus militants de bonnes et nobles causes.

Que nos juridictions se saisissent  de tous ces cas!

Que la réciprocité s’applique partout sur le continent ici et maintenant !

Que nos médias enquêtent sur les biens de certains Français en Afrique qui n’ont ni respect ni amour pour notre continent et ses dirigeants.

Le débat est aussi fondamentalement politique.

Notre génération a des responsabilités nationales et continentales.
Elle ne peut plus continuer à regarder impassible et désabusée cette France mal acquise, arrogante et provocatrice sans réagir.

Nous avons le devoir d’appliquer les principes de bonne gouvernance à ceux qui les exigent de nos dirigeants sans se les appliquer.

Nous avons le droit de définir nos politiques de développement, de décider de la destination de nos avoirs et réserves monétaires, y compris hors zone franc.

Nous en avons le droit et nous déciderons de notre destin.

Laissez-nous régler nous-mêmes nos contradictions avec nos dirigeants avec nos armes que sont nos bulletins de vote.

La France a clairement dit et fait savoir à nos dirigeants qu’elle ne veut plus des africains. Elle leur demande de rentrer chez eux. Elle les traque et les rapatrie. Au nom de quoi devrait-elle continuer à s’occuper des Africains ?

La presse française a là un terreau fertile d’investigation, une fois qu’elle en aura fini avec les affaires quasi quotidiennes qui secouent le landernau politico-affairiste où elle évolue. Un os d’Afrique serait-il plus savoureux pour la meute ?

« Préjudice direct et personnel » pour « préjudice direct et personnel », l’intérêt à ester en justice est vraiment hexagonal.

Nous allons nous organiser  désormais et agir, même face à l'inertie coupable ou complice de certains dirigeants.

La brèche est ouverte, l’heure des plaintes pour spoliation, exploitation et non-assistance à Africains affamés, non éduqués et en danger a sonné.

Nous le ferons avec finesse et intelligence car nous avons peur et honte du ridicule.

jeudi 22 juillet 2010

Chapeau d'âne aux opposants énervés sans Bac

Nos opposants Gabonais retranchés derrière un site tout aussi énervant que son nom prédestiné nous cassent les tympans avec les mauvais résultats du BAC et les imputent au pouvoir du Gabon Emergent.

C'est l'exemple typique de la mauvaise foi comme base et mode opératoire.
Le Bac étant l'aboutissement d'un cycle amorcé et conduit par les Myboto et ses acolytes comme Mba Obame et Compagnie qui ont été aux affaires pendant 2 à 4 décennies, il s'agit d'un aveu d'échec a posteriori.
Faire porter la casquette à l'émergence d'Ali Bongo Ondimba est révélateur du manque d'arguments et de la malhonnêteté de ces opposants tétanisés par l'impact de la récente caravane du Gabon Profond.

C'est aussi ignorer le mouvement en cours avec les Etats Généraux de l'Education depuis le début de l'année. Les problèmes de l'éducation, de la transmission du savoir et de la formation des compétences ne se réglent pas en quelques semaines et mois.

Le projet d'Ali Bongo Ondimba qui va se décliner au fil des années de son mandat se met patiemment en oeuvre pour aboutir aux divers pôles d'excellence en matière d'éducation et de formation pour des citoyens bien et mieux formés et suffisamment armés pour s'insérer dans la vie active, contribuant ainsi à l'émergence de notre pays.

Quant aux phraseurs qu'ils retournent dans les placards poussiéreux de l'oubli et de la non existence politique.

Allez! A la retraite et motus et bouche cousue!

mardi 13 juillet 2010

Pseudo-Manif du 16 Juillet 2010 à Washington

Lu pour vous dans le Fédérateur - Juillet 2010:

L’opposition gabonaise sacrifie à la pratique de la rancune et à la culture de la division comme instruments de conquête du pouvoir.

Sous de faux prétextes de la « légitimation démocratique », une certaine classe d’individus lie inextricablement incitation à la haine ethnique et débat politique. En dépit de l’existence, dans notre pays, de dispositions visant à réprimer ce type de comportements, ces « opposants politiques » - la formule est certainement trop noble pour s’appliquer à ce cas de figure - faute de pouvoir proposer une alternative sérieuse à l’action gouvernementale impulsée par le Président de la République Ali Bongo Ondimba; mais surtout, prisonniers de leurs propres turpitudes et incapables de transcender le ressentiment né de leur débâcle politique à l’issue des élections d’août 2009, propagent explicitement la haine et la division à travers un discours récurent d’exclusion et d’hostilité.

Et, fatalement, n’ayant plus le courage de se confronter à la population gabonaise, seule détentrice de la légitimité dont ils se réclament et qui, de plus en plus, réprouve leurs méthodes, ils tentent à présent d’exporter leurs forfaitures vers des puissances étrangères, en violation flagrante du principe de souveraineté des institutions du pays qu’ils prétendent défendre.

Ceux qui les suivent dans ces démarches hasardeuses pensent sans doute être dans leur bon droit, ou dans l’exercice légitime de leurs libertés politiques. Cependant, l’histoire nous montre chaque jour que c’est de cette manière que, stupide-ment, des Gabonais sont tombés dans des pièges grossiers tendus par ceux qui ont choisi le déni de démocratie comme unique mode d’expression politique et moyen de s’attirer les faveurs du camp qu’ils sont censés combattre.

Avec eux, la trahison n’est jamais bien loin. Leur activisme immodéré, désespérément bête et méchant cesse dès lors qu’ils peuvent savourer un petit moment de confort personnel : poste ministériel ; mesures financières individuelles... Ce ne sont pas les exemples qui manquent, mais « la masse moutonne » a la mémoire courte. Jamais elle ne s’est rendu compte que c’est toujours à elle que revient le rôle très réducteur de « dindon de la farce ».



Dieu merci! Il y a des pratiques qui ne survivront pas aux réformes en cours.

samedi 3 juillet 2010

La ronde des Gabo sniffeurs et pleureuses

Les momies politiques de Libreville et du Gabon regroupés autour de Écrit au nom de l'Alliance des Cons et Retardés (ACR, qui comprend notamment l'Union des Pires Gigolos, UPG) et l'Union Nébuleuse (UN) ont remis un torchon plantif au SG de l'ONU.

Ces symboles de la mal gouvernance durable, apprentis sorciers et autres putschistes en herbe ont voulu ternir le succès éclatant de la visite de Ban Ki Moon dans notre pays. Ils ont soit disant déposé une plainte, tenez vous bien pour dénoncer une mauvaise gouvernance et mettent directement en cause le président Ali Bongo Ondimba.

N'étaient-ils pas tous  il y  a un an et pendant 20, 30 ou 40 ans aux affaires et responsables de la situation qu'ils dénoncent une fois écartés du pouvoir, en habitués non repentis de ses délices et tendeurs de mains (vous comprenez le vrai sens!)?

Colère des Gabonais avez-vous dit? non colère des recalés de toutes les élections, habitués au chantage, aux mallettes et valises d'argent. C'est fini ça! Quoique vous disiez ou fassiez, le dialogue pécuniare n'aura plus lieu. Pas d'argent. Rentrez ou retournez dans les rangs et bossez honnêtement. La politique n'est pas un métier qui garantit l'enrichissement égoiste ad vitam eternam.

Les élections législatives de 2011 seront libres, régulières et transparentes et vous remordrez la poussière, même revêtus du manteau de la virginité politico-administrative subite.

jeudi 1 juillet 2010

Gabonaises Gabonais l'émergence sera au bout de l'effort

YUPPI  BRAVO  Le Gabon, notre Gabon est sur la bonne voie....vers l'atteinte des OMD, les 8 Objectifs du Millénaire pour le Développement. Ce n'est pas le PDG qui parle, ni Ali Bongo Ondimba mais le big boss de l'ONU en séjour au pays depuis hier et aujourd'hui encore.


Pour cela il faut continuer les efforts. La volonté politique existante en sera le moteur et la contribution de tous les Gabonais l'huile grâce au travail, à la persévérance, à la rigueur, à l'honnêteté, au patriotisme et à la solidarité.

Le pays a besoin d'investissements, de sa jeunesse scolarisée, éduquée, formée dans les neuf provinces.

Le Gabon a besoin de moins de politique politicienne, moins besoin d'être l'otage de quelques politiciens déchus et avides de pouvoir. L'heure est au travail pour figurer parmi les pays africains qui ont les bases et moyens de s'en sortir et de voir la lumière naissante au bout du tunnel en 2015.

L'émergence c'est pas de la parlotte ou un slogan. C'est du boulot, de l'organisation, de la compétitivité et de la croissance. Le Président ABO a tracé la vision et le sillon. A chacun de semer les graines du développement, là où il est, là où il excerce ses responsabilités grand quelqu'un ou membre des soit-disant petites gens.

Discours complet (anglais)

Mengara le clown manifesteur et bonimenteur

Le ridicule ne tue pas wwooohhhh!
Deux pelés, trois tondus , quatre chômeurs, deux chiens et une chèvre vont soit disant manifester. La mama Hilary va rire ohhh elle qui a , du goût des apprentis sorciers émigrés, trop bien parlé de Ali l'Homme Neuf.

Les gars on n'arrête pas la mer et l'Océan Atlantique qui émane de Libreville et Port Gentil avec ses bras.


Les convulsions des organisateurs de cette manifestation cirque bidon n'y feront rien.

Question à 100 dollars: Sieur Mengara  où étiez-vous en juillet 2009?

Faites une panacarte pour dire que vous détenez le record et la palme du seul candidat dont le dossier a été rejeté par la CENAP. Incapable majeur et notoire qui n'a pas pu se présenter à la dernière élection présidentielle, vous êtes le tocard en chef. Incapable de réunir le montant de la caution, incapable vous serez de mobiliser. Allez faire le clown et du bruit en spécialiste de tintamarre que vous êtes , affublés de vos acolytes. La démocratie enfante forcément ses clowns et bouffons. Allez ouste!