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vendredi 18 février 2011

MBA OBAME DIS NOUS LA VERITE SUR L'AFFAIRE MBANIE, TON SILENCE DERANGE LE PEUPLE GABONAIS!

L’imposteur squatteur du PNUD est d’un silence assourdissant au moment où la question de l’Ile Mbanié revient à la une de l’actualité, et qu'une concertation nationale sous l'impulsion du Président de la République, Chef de l'Etat ALI BONGO ONDIMBA, s'est ouverte à Libreville.






Toutes les forces vives de la Nations se sont succédées au Palais de la Présidence de la République, en partant des Institutions Constitutionnelles, des Partis Politiques aussi bien de la majorité que de l'opposition, des Organisations Non Gouvernementales, des Forces de Défenses et de Sécurité, aux simples citoyen gabonais.

Fait particulièrement intriguant, Casimir Oyé Mba pourtant ancien Premier Ministre sous le Magistère duquel (soulignons le au passage), Mba Obame André avait manigancé et conduit aux fameux Accords de Paris (il faut dire qu'à l'époque, les deux hommes se détestaient ouvertement), lui dont on aurait pu penser qu'à la lumière de ses récentes sorties médiatiques semblait s'affranchir de la vassalité dans laquelle MBA LE BOA les tient au siège du PNUD, lui "Cam la Class" (la grosse blague),qui tentait de retrouver le bon sens en sollicitant la clairvoyance du Chef de l'Etat ALI BONGO ONDIMBA quant à l'ouverture d'un dialogue entre les acteurs politiques, s'est soudainement et à la surprise générale, rétracté en déclinant l'invitation officielle du Chef de l'Etat à se joindre aux discussions pourtant liées au très sensible litige d'intérêt national sur l'ile Mbanié.


Ce silence de Casimir Oyé Mba n'est sans doute pas anodin, car on se souviendra que le jour du scrutin présidentiel du 30 Aout 2009, notre CAM national s'était également rétracté au grand dame de ses électeurs et ce, sans donner de raisons valables. Mais en réalité et d'après nos informations, c'est sous la pression d' un Chef d'Etat d'Afrique Centrale limitrophe au Gabon, en particulier de la province du Woleu-Ntem qui lui aurait promis (il parait) environ 2.8 milliards de nos francs d'argent de poche si il acceptait de se retirer pour reporter ses voix sur qui vous savez... (suivez notre regard). Aussi, l'absence de commentaires de la part de notre ancien Premier Ministre nous ramène à la question de savoir dans quel camp se trouve-t-il? Celui de l'intérêt de la Nation ou de ses propres intérêts?
Quoiqu'il en soit, tout porte à croire que le hors-la loi de Medouneu doit avoir une terrible épreuve de conscience, puisque ballotté entre son rêve de présider le Gabon et son penchant pour sa patrie du cœur, toute voisine. (Suivez notre regard une fois de plus...) Nous ne pouvons pas croire qu’inspirée par une certaine fée du logis, le champion du ridicule soit plongé dans la lecture d’Arlequin ou en admiration des séances de manucure, pédicure ou autres de sa compagne d’exil volontaire sur le territoire qu’il clame présider.

Les deux ont en commun le retour au royaume d’enfance mais tel n’est pas l’essentiel de notre propos. Les Gabonais veulent savoir que pense le président du ridicule du différend de l’Ile Mbanié ?

Quel rôle a-t-il joué ou pas dans cette affaire? Est-il prêt à sortir de son trou et à affronter un jury d'honneur ou un jury populaire pour expliquer son implication dans cette affaire sordide?

Que pense le député de Medouneu refugié-squatteur devant l’éternel du formidable élan national de concertation et d’unité autour du Chef de l’Etat ?

André langue de Mboa(chien en langue omiènè) aurait-il perdu l’usage de la parole pour nous édifier sur l’appartenance de Mbanié au Gabon ? Est-il prêt à prendre position publiquement, lui le bavard des grilles du PNUD ?

Est-il pour le respect et l’application des textes internationaux, notamment de la Convention de Vienne sur le droit des Traités de 1969?

Le silence d'AMO alias MOA sur ce litige de Mbanié devient assurdissant... Au fait il nous revient que l’un de ses noms de baptême de campagne était André Mba Nié. Un nom prédestiné surtout quand on est loin d’être clean et qu’on a choisi d’être le secrétaire exécutif de la tortuosité….

Nous reviendrons plus en détail sur cette question avec plus de détails que beaucoup parmi nous semblent ignorer...

MBA OBAME doit s'expliquer sur le contrat de cession qu'il voulu faire signer au défunt Président de la République OMAR BONGO ONDIMBA, lequel renvoya notre vénal Ministre de l'Intérieur de l'époque, chez la Présidente de la Cour Constitutionnelle. Le refus catégorique de Marie Madeleine Mborantsouo de parapher ce document ubuesque et dangereux avait permis à notre pays de préserver son intégrité territoriale et de nous éviter une honte nationale.



Il convient par ailleurs de souligner que le Secrétaire Général des Nations Unies vient de donner une réponse définitive à l'usurpateur de pouvoir André Mba Obame qui demandait la reconnaissance de sa dérive par l'ONU. En effet, Monsieur BAN KI MOON a tout simplement inviter le Président reconnu par la Communauté Internationale, SE ALI BONGO ONDIMBA, pour une rencontre tripartite avec son homologue équato guinéen Obiang Nguéma à New York les 24 et 25 Février prochain.

Un tel désaveu devrait servir de leçon à Monsieur Mba Obame afin qu'il comprenne définitivement qu'en dehors d'avoir été ridicule et couvert notre pays de honte, son acte n'a eu d'impact que sur sa propre personnalité et celle de ses nouveaux vassaux! Le Vrai Président de la République est ALI BONGO ONDIMBA et lui Mba Obame, un futur ex député qui sera jugé par les tribunaux compétents pour crime de Haute Trahison!

La suite de cette affaire, pour bientôt...

Auteur: UJPDG-FRANCE


Sources: Un partisan de l’intégrité territoriale.

jeudi 13 janvier 2011

Le Journal"Libération"veut cacher la Vérité à ses lecteurs et aux Gabonais

Après avoir semé le vent en révélant contre le Gabon et certains dirigeants français, les « ragots » de WIKILEAKS, l’incorrigible journal « Libération », semble désormais envouté par la peur de récolter sa propre « tempête ». Au lendemain de sa publication du 31 Décembre 2010 intitulé « Des chèques africains sous le parquet parisien », le quotidien français pourtant grand donneur de leçon en matière de démocratie, tarde jusqu’alors à publier la lettre qui lui a été adressée via ses dirigeants, par les avocats de la République Gabonaise, Maitres Georges ARAMA et Patrick MAISONNEUVE (officiant barreau de Paris), en date du 7 Janvier 2011 en réponse aux incartades incontrôlées (permettez ce pléonasme « utile ») dudit organe de presse écrite français.

En effet, « Libé » comme on le surnomme affectueusement dans "les cafés du commerce parisiens", avait dans un de ses articles du 31 Décembre dernier, livré sur la « place publique », des informations développées par l’hebdomadaire Jeune Afrique et reprises depuis par Wiki-congossa, oops(!!!) Wikileaks, concernant le dossier dit « BEAC ».

De telles révélations n’ont guère manqué de susciter étonnement et stupéfaction du côté gabonais. C’est à la suite de ces dérapages, fortement critiqués tant par les autorités françaises que gabonaises, et fort des éléments de preuves en leur possession, que par leur courrier du 7 Janvier 2011, Maitres Georges ARAMA et Patrick MAISONNEUVE, commis par le Gabon à cet effet, ont bien voulu attirer l’attention du comité directeur du « satirique », mais surtout celle de ses lecteurs auxquels "l'infidélité de l'information" à été commise , sur quelques points importants qui tendent à démontrer que ni Libération ni Jeune Afrique et encore moins WikiLeaks ne disposent d’informations pertinentes et vérifiées.


Les deux ténors du barreau parisien ont notamment rappelé à nos amis « chiens de garde » de la « médiacratie française », que dans cette affaire dite de la « BEAC », le Président de la République Gabonaise, Ali BONGO ONDIMBA, d'ores et déjà animé par la ferme volonté d'imposer la Bonne Gouvernance dans la gestion de la chose publique au Gabon, avait dès sa prise de fonction à la fin du mois d’octobre 2009, enjoint à son Premier Ministre Paul BIYOGHE MBA de déposer une plainte contre X du fait des malversations commises par plusieurs responsables de la BEAC(Banque des Etats de l’Afrique Centrale) à Paris.

D’après les éléments que nous détenons, cette plainte a été enregistrée au Parquet de Paris depuis le 19 novembre 2009, sous le numéro 09.323.930.14. Malheureusement, ladite déposition est jusqu’à ce jour restée sans réponse. Curieux non?


Que disait la plainte ?
Dans sa plainte contre X, la République Gabonaise demandait notamment que la lumière soit faite sur les détournements mis à jour par l’enquête interne de la BEAC dont il est fait état dans un rapport publié, le 24 octobre 2009, ainsi que sur l’emploi abusif et le placement de fonds (de la BEAC) dans des proportions anormales, illicites et exorbitantes, auprès de plusieurs établissements bancaires en France.

En effet, et pour l’information de tous, le Gabon en sa qualité de membre de la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale), contribue au fond de réserve de la BEAC constitué par des apports effectués via les différentes banques centrales nationales, dont la sienne. C’est dire alors que les détournements susvisés n’ont pas épargné le Gabon, ils lui ont bien au contraire, également porté préjudice.

C’est d’ailleurs une des principales raisons pour lesquelles la plainte déposée par les autorités gabonaises auprès du parquet de Paris visait des faits de vol, d’escroquerie, de faux et usages de faux commis par plusieurs responsables de la BEAC sans distinction de nationalité ou d’appartenance.

Cependant à ce jour, la déposition est restée « lettre morte », ce qui d’ailleurs laisse sur leur fin, les avocats du Gabon face à une telle « bizarrerie ».

Que reproche-t-on au juste à la presse française et particulièrement le journal « Libération » ?
 D’abord son « amateurisme » (expression d’ailleurs récemment découverte par une certaine opposition gabonaise… Suivez notre regard) au regard du traitement inapproprié, voire condescendant des informations diffusées, particulièrement sur le Gabon. Ensuite mais surtout, c’est la stigmatisation de manière systématique du Gabon et ses responsables politiques, qui a conduit légitimement Georges ARAMA et Patrick MAISONNEUVE de porter à l’attention du comité directeur du journal « Libération », ces faits précis.

Les deux avocats ont d’ailleurs rappelé au Directeur de « Libération » ce qui suit : « La République Gabonaise aurait apprécié, comme vous le dites, qu’une « belle et bonne enquête judiciaire » soit ouverte « pour se faire une religion sur le BEACgate ».
 Aussi, ces propos que l’ont qualifierait de déformés et s’apparentant à des commérages de personnes vraisemblablement non compétentes tenus par des « diplomates », rapportés tant par Jeune Afrique que par WikiLeaks, ne correspondent pas en définitive, à la réalité du dossier, en tout cas, pas celle contenue dans les rapports de la BEAC pourtant accessibles à tous sur internet !!

«La lecture et l’analyse préalable de ces rapports, vous aurait certainement permis de pouvoir donner une information fiable, en tout cas moins orientée, à vos lecteurs de même que la connaissance des démarches accomplies par la République Gabonaise aurait pu vous permettre d’apprécier, les démarches initiées par la République Gabonaise», ont conclu les deux avocats.

Au moins, les choses ont le mérite d’être claires, même si nous attendons toujours avec grande impatience qu’en dehors de nous, le journal « Libération », grand artisan de la « démocratie médiatique », instruise ses lecteurs et nous, sur ces vérités qu’il semble leur cacher délibérément pour ne pas dire intentionnellement.

On aurait aimé revoir l'anthousiasme qui les avait animé lors de leur publication du 19 Octobre 2009 au sujet des mesures prises par ALI BONGO ONDIMBA lors du premier conseil des Ministres de son Magistère, en tête desquels la vaste croisade de lutte contre la male gouvernance et contre la corruption dans nos administrations. Depuis lors, nos amis de "Libé" semblent avoir définitivement perdu la raison... Mais à quel prix? That's the question!

mardi 4 janvier 2011

André Mba Obame: LE CLOWN DE LA RUE PUBLIQUE EST DE RETOUR

La neige, et le froid de Neuilly aidant, Caïn (suivez mon regard) a atterri à Libreville.

Le verglas persistant l'y a suivi pour une des ses glissades habituelles depuis son KO des élections présidentielles de 2009.

Le rat de certaines rédactions parisiennes et fantôme des couloirs intrigants de la Françafrique a voulu créer l'événement. Il aura réussi son numéro de pitrerie au grand bonheur des enfants, qui après le Père Noël, ont eu droit au cirque ou one man show burlesque de Caïn l'halluciné et bradeur de Banié pour la Saint Sylvestre.



Ce bonhomme qui croit que les Gabonais sont amnésiques prend des vessies pour des lanternes. Le ministre le plus impopulaire et vomi de la République, habitué aux sales besognes, machinations, intrigues et trahisons, à l'égo surdimensionné, pense, comme Merlin l'enchanteur avoir plus d'un tour dans son sac et réussir la prouesse de se forger virginité, charisme et adulation.

Non Mr le Député, revenez sur terre !

Mais où était Caïn de Medonneu tous ces mois?

Un Président élu peut-il préférer les allées et hôtels particuliers de Neuilly et les fréquentations et tractations antinationales à sa présence parmi ses compatriotes ?

Mais où était donc Caïn de Banié, l'apprenti déstabilisateur pendant tous ces mois?

Quid de ces rencontres dont nous savons un bon bout, en vue de déstabiliser le Président légal et légitime du Gabon, Ali Bongo Ondimba ?

Après le pétard mouillé du documentaire de Patrick Benquet et de l'ami intime de Caïn, Antoine Glaser, notre farfelu et fanfaron tropical envisage un scénario de guerre civile dans le pays, soutenu par des capitaux étrangers. Le gus est prêt à tout, avec ses acolytes, à qui il a promis monts et merveilles, pour quitter Neuilly et prendre ses quartiers au Palais du bord de mer à Libreville.

Rien ne le sauvera des eaux et du déluge des législatives et adieu rêves, ambitions et la terre promise de Premier Ministre et futur Président…sauf du souterrain du ridicule…qui risque de le tuer.

L'une des seules hypothèses non promise et la plus probable pour un proche avenir c'est qu'il se retrouve pour un long bail dans une des cellules de moins sept étoiles qu'il gérait jadis et où il se faisait un malin plaisir d'envoyer Marc Ona et Grégory Ngwa Mintsa . Tiens ….Tiens…..Très intéressant !

Alors ressaisissez-vous pendant qu'il est temps car force reste et restera à la loi.
L'autre hypothèse est son internat dans quelque hospice psychiatrique pour un traitement urgent et adéquat d'un cas vraiment pathologique.

A bon entendeur…….Caïn l'imposteur et tortionnaire de métier !