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jeudi 22 juillet 2010

Chapeau d'âne aux opposants énervés sans Bac

Nos opposants Gabonais retranchés derrière un site tout aussi énervant que son nom prédestiné nous cassent les tympans avec les mauvais résultats du BAC et les imputent au pouvoir du Gabon Emergent.

C'est l'exemple typique de la mauvaise foi comme base et mode opératoire.
Le Bac étant l'aboutissement d'un cycle amorcé et conduit par les Myboto et ses acolytes comme Mba Obame et Compagnie qui ont été aux affaires pendant 2 à 4 décennies, il s'agit d'un aveu d'échec a posteriori.
Faire porter la casquette à l'émergence d'Ali Bongo Ondimba est révélateur du manque d'arguments et de la malhonnêteté de ces opposants tétanisés par l'impact de la récente caravane du Gabon Profond.

C'est aussi ignorer le mouvement en cours avec les Etats Généraux de l'Education depuis le début de l'année. Les problèmes de l'éducation, de la transmission du savoir et de la formation des compétences ne se réglent pas en quelques semaines et mois.

Le projet d'Ali Bongo Ondimba qui va se décliner au fil des années de son mandat se met patiemment en oeuvre pour aboutir aux divers pôles d'excellence en matière d'éducation et de formation pour des citoyens bien et mieux formés et suffisamment armés pour s'insérer dans la vie active, contribuant ainsi à l'émergence de notre pays.

Quant aux phraseurs qu'ils retournent dans les placards poussiéreux de l'oubli et de la non existence politique.

Allez! A la retraite et motus et bouche cousue!

mardi 13 juillet 2010

Pseudo-Manif du 16 Juillet 2010 à Washington

Lu pour vous dans le Fédérateur - Juillet 2010:

L’opposition gabonaise sacrifie à la pratique de la rancune et à la culture de la division comme instruments de conquête du pouvoir.

Sous de faux prétextes de la « légitimation démocratique », une certaine classe d’individus lie inextricablement incitation à la haine ethnique et débat politique. En dépit de l’existence, dans notre pays, de dispositions visant à réprimer ce type de comportements, ces « opposants politiques » - la formule est certainement trop noble pour s’appliquer à ce cas de figure - faute de pouvoir proposer une alternative sérieuse à l’action gouvernementale impulsée par le Président de la République Ali Bongo Ondimba; mais surtout, prisonniers de leurs propres turpitudes et incapables de transcender le ressentiment né de leur débâcle politique à l’issue des élections d’août 2009, propagent explicitement la haine et la division à travers un discours récurent d’exclusion et d’hostilité.

Et, fatalement, n’ayant plus le courage de se confronter à la population gabonaise, seule détentrice de la légitimité dont ils se réclament et qui, de plus en plus, réprouve leurs méthodes, ils tentent à présent d’exporter leurs forfaitures vers des puissances étrangères, en violation flagrante du principe de souveraineté des institutions du pays qu’ils prétendent défendre.

Ceux qui les suivent dans ces démarches hasardeuses pensent sans doute être dans leur bon droit, ou dans l’exercice légitime de leurs libertés politiques. Cependant, l’histoire nous montre chaque jour que c’est de cette manière que, stupide-ment, des Gabonais sont tombés dans des pièges grossiers tendus par ceux qui ont choisi le déni de démocratie comme unique mode d’expression politique et moyen de s’attirer les faveurs du camp qu’ils sont censés combattre.

Avec eux, la trahison n’est jamais bien loin. Leur activisme immodéré, désespérément bête et méchant cesse dès lors qu’ils peuvent savourer un petit moment de confort personnel : poste ministériel ; mesures financières individuelles... Ce ne sont pas les exemples qui manquent, mais « la masse moutonne » a la mémoire courte. Jamais elle ne s’est rendu compte que c’est toujours à elle que revient le rôle très réducteur de « dindon de la farce ».



Dieu merci! Il y a des pratiques qui ne survivront pas aux réformes en cours.

samedi 3 juillet 2010

La ronde des Gabo sniffeurs et pleureuses

Les momies politiques de Libreville et du Gabon regroupés autour de Écrit au nom de l'Alliance des Cons et Retardés (ACR, qui comprend notamment l'Union des Pires Gigolos, UPG) et l'Union Nébuleuse (UN) ont remis un torchon plantif au SG de l'ONU.

Ces symboles de la mal gouvernance durable, apprentis sorciers et autres putschistes en herbe ont voulu ternir le succès éclatant de la visite de Ban Ki Moon dans notre pays. Ils ont soit disant déposé une plainte, tenez vous bien pour dénoncer une mauvaise gouvernance et mettent directement en cause le président Ali Bongo Ondimba.

N'étaient-ils pas tous  il y  a un an et pendant 20, 30 ou 40 ans aux affaires et responsables de la situation qu'ils dénoncent une fois écartés du pouvoir, en habitués non repentis de ses délices et tendeurs de mains (vous comprenez le vrai sens!)?

Colère des Gabonais avez-vous dit? non colère des recalés de toutes les élections, habitués au chantage, aux mallettes et valises d'argent. C'est fini ça! Quoique vous disiez ou fassiez, le dialogue pécuniare n'aura plus lieu. Pas d'argent. Rentrez ou retournez dans les rangs et bossez honnêtement. La politique n'est pas un métier qui garantit l'enrichissement égoiste ad vitam eternam.

Les élections législatives de 2011 seront libres, régulières et transparentes et vous remordrez la poussière, même revêtus du manteau de la virginité politico-administrative subite.

jeudi 1 juillet 2010

Gabonaises Gabonais l'émergence sera au bout de l'effort

YUPPI  BRAVO  Le Gabon, notre Gabon est sur la bonne voie....vers l'atteinte des OMD, les 8 Objectifs du Millénaire pour le Développement. Ce n'est pas le PDG qui parle, ni Ali Bongo Ondimba mais le big boss de l'ONU en séjour au pays depuis hier et aujourd'hui encore.


Pour cela il faut continuer les efforts. La volonté politique existante en sera le moteur et la contribution de tous les Gabonais l'huile grâce au travail, à la persévérance, à la rigueur, à l'honnêteté, au patriotisme et à la solidarité.

Le pays a besoin d'investissements, de sa jeunesse scolarisée, éduquée, formée dans les neuf provinces.

Le Gabon a besoin de moins de politique politicienne, moins besoin d'être l'otage de quelques politiciens déchus et avides de pouvoir. L'heure est au travail pour figurer parmi les pays africains qui ont les bases et moyens de s'en sortir et de voir la lumière naissante au bout du tunnel en 2015.

L'émergence c'est pas de la parlotte ou un slogan. C'est du boulot, de l'organisation, de la compétitivité et de la croissance. Le Président ABO a tracé la vision et le sillon. A chacun de semer les graines du développement, là où il est, là où il excerce ses responsabilités grand quelqu'un ou membre des soit-disant petites gens.

Discours complet (anglais)

Mengara le clown manifesteur et bonimenteur

Le ridicule ne tue pas wwooohhhh!
Deux pelés, trois tondus , quatre chômeurs, deux chiens et une chèvre vont soit disant manifester. La mama Hilary va rire ohhh elle qui a , du goût des apprentis sorciers émigrés, trop bien parlé de Ali l'Homme Neuf.

Les gars on n'arrête pas la mer et l'Océan Atlantique qui émane de Libreville et Port Gentil avec ses bras.


Les convulsions des organisateurs de cette manifestation cirque bidon n'y feront rien.

Question à 100 dollars: Sieur Mengara  où étiez-vous en juillet 2009?

Faites une panacarte pour dire que vous détenez le record et la palme du seul candidat dont le dossier a été rejeté par la CENAP. Incapable majeur et notoire qui n'a pas pu se présenter à la dernière élection présidentielle, vous êtes le tocard en chef. Incapable de réunir le montant de la caution, incapable vous serez de mobiliser. Allez faire le clown et du bruit en spécialiste de tintamarre que vous êtes , affublés de vos acolytes. La démocratie enfante forcément ses clowns et bouffons. Allez ouste!