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dimanche 12 décembre 2010

MYE’A la langue de MBOA (Mba Obame André)

Une excitée de quartier, auto-érigée et proclamée Présidente du conseil exécutif,d’un confidentiel Mouvement Civique du Gabon qui pourrait tenir son AG dans la cabine d’un pick-up nous tympanise sous l’instigation de ses commanditaires, les perdants des élections, toujours non encore remis de leur KO.


Madame la cheftaine du mouvement lilliputien, expliquez-nous comment le politicien le plus vomis par les Gabonais, qui a joui dans tous les sens du terme des délices d’une sinécure ministérielle jusqu’à la veille de la désignation du candidat du PDG, a pu en quelques petites semaines, inverser la tendance et se faire aduler ?

A moins de prendre nos compatriotes pour des tarés ou de vouloir insulter l’histoire universelle où nul ministre d’un gouvernement n’a pu en moins de 2 mois de sa défénestration gagner des élections présidentielles, votre thèse onirique est irréaliste. Réveillez-vous pendant qu’il est temps !

Vous voulez prétendre que votre champion de la roublardise et de l’ingratitude doit entrer dans le record Guinness ? Peut-être mais celui des clowns et charlatans.

Puisque vous adorez les parallèles, méditez ce qui suit

• Mba Obame, le Gbagbo du Gabon ; pas beau le mec à langue de MBOA (tiens tiens ce sont ses initiales)

• Machiavélique : Ne croît en rien ! sa parole n’a aucune valeur. C’est cadeau et ça gâter pas

• Passe son temps à chercher à manipuler sans foi ni loi

• Invente des résultats de toutes pièces et n’a aucun scrupule à les diffuser partout, contre toute légalité mais sans incidence aucune sur la marche du Gabon Emergent : ça compte pour du beurre et ça fond sous le soleil de la vérité et du progrès

• Sait qu’il ne peut gagner d’élections légales, donc s’appuie sur la fourberie et la manipulation.

• Organise une subversion permanente car ne supporte pas que la marche de la République se fasse sans lui. Il rêve de gagner les législatives et de retrouver, pense-t-il les lambris et dorures d’antan. Peine perdue.

• S’il devait arriver au pouvoir, il tordrait le cou à tous les principes et à la démocratie pour ne jamais partir hein Monsieur le patron de TV+ (financé comment au fait depuis l’origine ?)

M'Eya des coups de pied qui se perdent ! Sachez les donner là où il faut et VLAN !

jeudi 25 novembre 2010

France-Afrique : vous avez dit biens mal acquis et spoliation ?

Les médias et journaux français des 10 et 11 novembre ont fait leur chou gras de la décision de la Cour de cassation de permettre à un juge d'instruction dit indépendant de pouvoir enquêter sur le patrimoine en France de trois présidents africains, dont l’un est le nôtre défunt et de leurs proches.

Si cette décision ouvre la voie aux plaintes des associations anti-corruption, jusque-là irrecevables, elle ouvre une vraie Boîte de Pandore et ce sera de toute beauté.

Pour le fils du continent que je suis cette décision est une nouvelle insulte aux Africains, plus précisément à l’Afrique Noire.

Pour le citoyen gabonais non affilié à quelque parti que ce soit,  au-delà de toute émotion, il faut en avoir plusieurs lectures.

Cette décision au-delà de ses relents de nostalgie coloniale est caractéristique de la mentalité d’esclavage de ceux qui se prennent pour les maîtres du continent, des années après la traite, l’époque coloniale et néocoloniale. Le Parti Démocratique Gabonais, cette fois, a dit et bien dit ce qu’il fallait à ce propos.

Quelle belle occasion pour la meute médiatique hexagonale (excusez de l’emprunt à Mitterrand) que cette décision qui lui permet de se ruer vers le Président Gabonais Ali Bongo Ondimba, qui n’a jamais été cité, à ce jour, personnellement dans cette affaire.

Arrivé à la tête du pouvoir qu’il exerce depuis un an donc bien après le début de la procédure, aucun acte ni preuve ne peuvent être apportés et mis à charge contre lui.

Fort curieusement ces attaques politiques en règle sous vernis juridique interviennent au moment où, prenant la France au mot, il diversifie les partenariats du Gabon afin de réaliser les plans de sa stratégie d’émergence pour le plus grand bien de tous les Gabonais.

Elles interviennent à un moment où la France de l’immigration choisie perd du terrain, chaque jour davantage partout en Afrique, au profit de pays ayant une conception et une pratique plus équitables, plus moderne et généreuse des relations bilatérales.

Au moment où de nombreux titres, articles et sites africains font état de nouveaux succès diplomatiques de notre pays en Asie avec des investissements records de nouveaux partenaires de pays émergents, au moment où Ali Bongo Ondimba, mène courageusement sa croisade contre la mal gouvernance, la corruption, les détournements au vu et au su de l’écrasante majorité de nos compatriotes et des filles et fils du continent, qui lui vouent admiration, la presse française se déchaîne à nouveau au point d’être suspecte.

La décision du Gabon d’arrêter l’exportation des grumes de bois, suivie de la décision de mise en compétition pour l’octroi de 42 plateformes pétrolières, par la procédure qui lui paraîtra idoine, cassant de fait le monopole de certains auraient-elles effarouché d’aucuns au point d’en faire un « casus belli » ?

Le niveau surprenant d’engagements et d’investissements en cours  de pays émergents au Gabon aurait-elle réveillé une certaine frilosité ?

Cette campagne est détestable et inacceptable car émanant d’adeptes de la démocratie variable et de faciès.

Et c’est là le débat de fond : une légèreté grave nourrie par le racisme.

Mesdames, Messieurs de la presse française : si vos motivations se fondent sur des principes, qu’attendez-vous pour attaquer de connivence avec vos ONG adulées tous les Chefs d’Etat du monde ? Pourquoi seulement trois ? Pourquoi seulement des Africains au teint basané ?

Qu’attendez-vous pour suggérer des enquêtes sur le patrimoine des dirigeants de votre propre pays ?

Quid des Princes arabes du Golfe qui vous ont dépossédé de vos plus beaux hôtels particuliers ou autres yachts ?

Seraient-ils des rois et roitelets trop puissants ou argentés contrairement à ces nègres d’Afrique ?

Cela a un nom : des attaques ciblées et en règle dès lors que les nouveaux « Oncle Tom » du genre Gregory Ngbwa Mintsa, le singleton black repéré et retrouvé à la torche indigène, sont instrumentalisés pour porter plainte.

Seriez-vous d’avis que l’Africain n’a encore droit qu’à vivre sur les arbres à côté des singes ?

Biens mal acquis avez-vous dit ?

Le scénario est mal écrit et piteusement interprété.

Puisque la brèche juridique est ouverte, nous autres jeunes africains et gabonais, patriotes incorruptibles, allons déposer massivement et inlassablement des plaintes contre toutes ces sociétés qui depuis des années pillent et spolient notre continent, nos richesses nationales et celles des générations futures. Aucun de ces Messieurs de la Françafrique ne sera épargné.

Nous décidons de réactiver tous les dossiers. Les diamants brilleront de nouveau.

Nous convoquerons Me Bourdon, avocat de Kadhafi car nous sommes d’accord avec lui quand il clame que la brèche permet «d’envisager le procès de ceux qui s'enrichissent au détriment de leur population depuis des décennies et qui permettra un jour la restitution de ces avoirs illégalement acquis ».

Oui Maître mais comme un principe général applicable à tous, y compris à votre ami et opposant  loser et aigri qui parcourt les rédactions, cours maraboutiques et allées et couloirs  de son appartement de Neuilly pour justifier de ses biens, puisqu’il s’est lui-même autoproclamé héritier d’Omar Bongo Ondimba sans lequel il n’aurait pas eu de compte bancaire de sa vie.

Nous convoquons à la barre la France mal acquise et la presse complice et receleuse.

Nous convoquerons toutes ces sociétés françaises qui se sont enrichies honteusement sur le dos et la sueur des gabonais et des africains, investi et constitué des patrimoines en France, en Europe et dans le monde.

Nous reprendrons à notre compte le dossier de l’uranium français au Gabon et au Niger.

Nous nous intéresserons à VEOLIA, à ses filiales qui assoiffent  nos populations, délestent nos écoles et hôpitaux et assombrissent nos villes, villages et maisons.

Nous convoquerons les activistes, intrigants et manipulateurs tapis dans quelques organisations et revêtus du manteau de prétendus militants de bonnes et nobles causes.

Que nos juridictions se saisissent  de tous ces cas!

Que la réciprocité s’applique partout sur le continent ici et maintenant !

Que nos médias enquêtent sur les biens de certains Français en Afrique qui n’ont ni respect ni amour pour notre continent et ses dirigeants.

Le débat est aussi fondamentalement politique.

Notre génération a des responsabilités nationales et continentales.
Elle ne peut plus continuer à regarder impassible et désabusée cette France mal acquise, arrogante et provocatrice sans réagir.

Nous avons le devoir d’appliquer les principes de bonne gouvernance à ceux qui les exigent de nos dirigeants sans se les appliquer.

Nous avons le droit de définir nos politiques de développement, de décider de la destination de nos avoirs et réserves monétaires, y compris hors zone franc.

Nous en avons le droit et nous déciderons de notre destin.

Laissez-nous régler nous-mêmes nos contradictions avec nos dirigeants avec nos armes que sont nos bulletins de vote.

La France a clairement dit et fait savoir à nos dirigeants qu’elle ne veut plus des africains. Elle leur demande de rentrer chez eux. Elle les traque et les rapatrie. Au nom de quoi devrait-elle continuer à s’occuper des Africains ?

La presse française a là un terreau fertile d’investigation, une fois qu’elle en aura fini avec les affaires quasi quotidiennes qui secouent le landernau politico-affairiste où elle évolue. Un os d’Afrique serait-il plus savoureux pour la meute ?

« Préjudice direct et personnel » pour « préjudice direct et personnel », l’intérêt à ester en justice est vraiment hexagonal.

Nous allons nous organiser  désormais et agir, même face à l'inertie coupable ou complice de certains dirigeants.

La brèche est ouverte, l’heure des plaintes pour spoliation, exploitation et non-assistance à Africains affamés, non éduqués et en danger a sonné.

Nous le ferons avec finesse et intelligence car nous avons peur et honte du ridicule.

jeudi 22 juillet 2010

Chapeau d'âne aux opposants énervés sans Bac

Nos opposants Gabonais retranchés derrière un site tout aussi énervant que son nom prédestiné nous cassent les tympans avec les mauvais résultats du BAC et les imputent au pouvoir du Gabon Emergent.

C'est l'exemple typique de la mauvaise foi comme base et mode opératoire.
Le Bac étant l'aboutissement d'un cycle amorcé et conduit par les Myboto et ses acolytes comme Mba Obame et Compagnie qui ont été aux affaires pendant 2 à 4 décennies, il s'agit d'un aveu d'échec a posteriori.
Faire porter la casquette à l'émergence d'Ali Bongo Ondimba est révélateur du manque d'arguments et de la malhonnêteté de ces opposants tétanisés par l'impact de la récente caravane du Gabon Profond.

C'est aussi ignorer le mouvement en cours avec les Etats Généraux de l'Education depuis le début de l'année. Les problèmes de l'éducation, de la transmission du savoir et de la formation des compétences ne se réglent pas en quelques semaines et mois.

Le projet d'Ali Bongo Ondimba qui va se décliner au fil des années de son mandat se met patiemment en oeuvre pour aboutir aux divers pôles d'excellence en matière d'éducation et de formation pour des citoyens bien et mieux formés et suffisamment armés pour s'insérer dans la vie active, contribuant ainsi à l'émergence de notre pays.

Quant aux phraseurs qu'ils retournent dans les placards poussiéreux de l'oubli et de la non existence politique.

Allez! A la retraite et motus et bouche cousue!

mardi 13 juillet 2010

Pseudo-Manif du 16 Juillet 2010 à Washington

Lu pour vous dans le Fédérateur - Juillet 2010:

L’opposition gabonaise sacrifie à la pratique de la rancune et à la culture de la division comme instruments de conquête du pouvoir.

Sous de faux prétextes de la « légitimation démocratique », une certaine classe d’individus lie inextricablement incitation à la haine ethnique et débat politique. En dépit de l’existence, dans notre pays, de dispositions visant à réprimer ce type de comportements, ces « opposants politiques » - la formule est certainement trop noble pour s’appliquer à ce cas de figure - faute de pouvoir proposer une alternative sérieuse à l’action gouvernementale impulsée par le Président de la République Ali Bongo Ondimba; mais surtout, prisonniers de leurs propres turpitudes et incapables de transcender le ressentiment né de leur débâcle politique à l’issue des élections d’août 2009, propagent explicitement la haine et la division à travers un discours récurent d’exclusion et d’hostilité.

Et, fatalement, n’ayant plus le courage de se confronter à la population gabonaise, seule détentrice de la légitimité dont ils se réclament et qui, de plus en plus, réprouve leurs méthodes, ils tentent à présent d’exporter leurs forfaitures vers des puissances étrangères, en violation flagrante du principe de souveraineté des institutions du pays qu’ils prétendent défendre.

Ceux qui les suivent dans ces démarches hasardeuses pensent sans doute être dans leur bon droit, ou dans l’exercice légitime de leurs libertés politiques. Cependant, l’histoire nous montre chaque jour que c’est de cette manière que, stupide-ment, des Gabonais sont tombés dans des pièges grossiers tendus par ceux qui ont choisi le déni de démocratie comme unique mode d’expression politique et moyen de s’attirer les faveurs du camp qu’ils sont censés combattre.

Avec eux, la trahison n’est jamais bien loin. Leur activisme immodéré, désespérément bête et méchant cesse dès lors qu’ils peuvent savourer un petit moment de confort personnel : poste ministériel ; mesures financières individuelles... Ce ne sont pas les exemples qui manquent, mais « la masse moutonne » a la mémoire courte. Jamais elle ne s’est rendu compte que c’est toujours à elle que revient le rôle très réducteur de « dindon de la farce ».



Dieu merci! Il y a des pratiques qui ne survivront pas aux réformes en cours.

samedi 3 juillet 2010

La ronde des Gabo sniffeurs et pleureuses

Les momies politiques de Libreville et du Gabon regroupés autour de Écrit au nom de l'Alliance des Cons et Retardés (ACR, qui comprend notamment l'Union des Pires Gigolos, UPG) et l'Union Nébuleuse (UN) ont remis un torchon plantif au SG de l'ONU.

Ces symboles de la mal gouvernance durable, apprentis sorciers et autres putschistes en herbe ont voulu ternir le succès éclatant de la visite de Ban Ki Moon dans notre pays. Ils ont soit disant déposé une plainte, tenez vous bien pour dénoncer une mauvaise gouvernance et mettent directement en cause le président Ali Bongo Ondimba.

N'étaient-ils pas tous  il y  a un an et pendant 20, 30 ou 40 ans aux affaires et responsables de la situation qu'ils dénoncent une fois écartés du pouvoir, en habitués non repentis de ses délices et tendeurs de mains (vous comprenez le vrai sens!)?

Colère des Gabonais avez-vous dit? non colère des recalés de toutes les élections, habitués au chantage, aux mallettes et valises d'argent. C'est fini ça! Quoique vous disiez ou fassiez, le dialogue pécuniare n'aura plus lieu. Pas d'argent. Rentrez ou retournez dans les rangs et bossez honnêtement. La politique n'est pas un métier qui garantit l'enrichissement égoiste ad vitam eternam.

Les élections législatives de 2011 seront libres, régulières et transparentes et vous remordrez la poussière, même revêtus du manteau de la virginité politico-administrative subite.

jeudi 1 juillet 2010

Gabonaises Gabonais l'émergence sera au bout de l'effort

YUPPI  BRAVO  Le Gabon, notre Gabon est sur la bonne voie....vers l'atteinte des OMD, les 8 Objectifs du Millénaire pour le Développement. Ce n'est pas le PDG qui parle, ni Ali Bongo Ondimba mais le big boss de l'ONU en séjour au pays depuis hier et aujourd'hui encore.


Pour cela il faut continuer les efforts. La volonté politique existante en sera le moteur et la contribution de tous les Gabonais l'huile grâce au travail, à la persévérance, à la rigueur, à l'honnêteté, au patriotisme et à la solidarité.

Le pays a besoin d'investissements, de sa jeunesse scolarisée, éduquée, formée dans les neuf provinces.

Le Gabon a besoin de moins de politique politicienne, moins besoin d'être l'otage de quelques politiciens déchus et avides de pouvoir. L'heure est au travail pour figurer parmi les pays africains qui ont les bases et moyens de s'en sortir et de voir la lumière naissante au bout du tunnel en 2015.

L'émergence c'est pas de la parlotte ou un slogan. C'est du boulot, de l'organisation, de la compétitivité et de la croissance. Le Président ABO a tracé la vision et le sillon. A chacun de semer les graines du développement, là où il est, là où il excerce ses responsabilités grand quelqu'un ou membre des soit-disant petites gens.

Discours complet (anglais)

Mengara le clown manifesteur et bonimenteur

Le ridicule ne tue pas wwooohhhh!
Deux pelés, trois tondus , quatre chômeurs, deux chiens et une chèvre vont soit disant manifester. La mama Hilary va rire ohhh elle qui a , du goût des apprentis sorciers émigrés, trop bien parlé de Ali l'Homme Neuf.

Les gars on n'arrête pas la mer et l'Océan Atlantique qui émane de Libreville et Port Gentil avec ses bras.


Les convulsions des organisateurs de cette manifestation cirque bidon n'y feront rien.

Question à 100 dollars: Sieur Mengara  où étiez-vous en juillet 2009?

Faites une panacarte pour dire que vous détenez le record et la palme du seul candidat dont le dossier a été rejeté par la CENAP. Incapable majeur et notoire qui n'a pas pu se présenter à la dernière élection présidentielle, vous êtes le tocard en chef. Incapable de réunir le montant de la caution, incapable vous serez de mobiliser. Allez faire le clown et du bruit en spécialiste de tintamarre que vous êtes , affublés de vos acolytes. La démocratie enfante forcément ses clowns et bouffons. Allez ouste!